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Affichage des articles du septembre 1, 2012

LE JOURNAL FRANCAIS''LIBERATION'' INCENDIE OUATTARA ET MET A NU SES INCOMPETENCES

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Guerriers traditionnels dozos lors d'une visite d'Alassane Ouattara dans l'ouest du pays, le 23 avril. (Thierry Gouegnon. Reuters) Un an après l’accession de Ouattara au pouvoir, le pays reste divisé et n’arrive pas à sortir de la crise sociale et du tribalisme. Par FANNY PIGEAUD Correspondante à Abidjan Drôle d’ambiance à Abidjan : un an après la chute de Laurent Gbagbo et l’investiture d’Alassane Ouattara à la présidence, le 21 mai 2011, les Ivoiriens attendent toujours une reprise économique qui ne vient pas. Le Fonds monétaire international (FMI) table pourtant sur un taux de croissance de 8% pour l’année en cours. Et de nombreux potentiels investisseurs étrangers se pressent à Abidjan. Mais, pour l’instant, rien de bien concret à la clé. «L’activité ne décolle pas, l’argent ne circule pas. On n’arrive pas à se faire payer par nos clients, les chantiers sont à l’arrêt, regrette le gérant d’une PME installée dans le quartier des affaires du Plateau.

LE MONDE DIPLOMATIQUE DEMASQUE OUATTARA

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par Theophile Kouamouo Quand "Le Monde diplomatique" démasque le régime Ouattara (extraits) Le titre se passe de commentaires. «Un territoire hors de contrôle – Guerre pour le cacao dans l’ouest ivoirien». Le périodique français Le Monde Diplomatique donne à lire, dans son édition de septembre, un article de terrain accablant pour le régime Ouattara et les FRCI. C’est un article qui tranche avec la langue de bois et l’incroyable complaisance qui caractérise les médias hexagonaux depuis la prise de pouvoir de l’actuel chef de l’Etat. Et qui ne tarde pas à désigner décrire ce qui se passe dans l’Ouest par son nom : un mouvement de «colonisation». «A Abidjan, les exactions contre les partisans de l’ancien président Laurent Gbagbo se sont multipliées cet été. Si M. Ouattara a finalement pris le pouvoir, en mars 2011, après la crise postélectorale est encore loin. Dans l’ouest du pays, l’Etat ne contrôle plus rien ; des mafias ont mis la main sur l’économie du